jeudi 18 septembre 2008

Journal Vert

Je ne regarde pas les nouvelles a la télé. Ni ne lis les grands journaux possédés par les grandes entreprises de médias qui tentent de contrôler la Pensée. Je préfère lire les petits journaux, qui ne sont pas censuré par leur commandites. Un de ces journaux est Le Journal Vert, publié dans les Laurentides. Il n'y a que 3 numéros par année je crois (hiver-printemps-automne). J'ai lu celui d'automne ce matin avec plaisir et je relate ici les "faits marquants".

Les "dangers" des produits naturels. En effet les médias de masses font souvent état ces temps-ci des supposés dangers de consommer, par exemple, des fruits, sous prétexte qu'ils renferment du sucre. Ou bien ils s'amusent a déformer la réalité, en parlant par exemple de la prise du millepertuis en même temps que des anti-dépresseurs. On peint le tableau ironique suivant : le millepertuis combiné aux anti-dépresseurs occasionnerait des idées suicidaires. C'est bien sur la plante naturelle qui est mise sur le banc des accusés, et non les anti-dépresseurs chimiques, qui, même lorsque pris seuls, créer les effets qu'ils sont justement supposer pouvoir faire disparaître.
-Donc, certains tentent de créer une méfiance générale dans la population vis-a-vis des produits naturels, en apparence au nom de la santé publique, mais en réalité obéissant aux règles du profit. Comme le conclu le rédacteur en chef du Journal, on devrait bien plus se méfier des produits -- et des gens -- qui ne le sont PAS (naturels)... -
D'ailleurs, en parlant de produits naturels, la LOI C-51... au Canada, cette loi qui, si elle passe, mettrait les produits naturels dans la même catégories que les médicaments, ces drogues... Résultats, des prix exorbitants, comme en Allemagne, ou des vitamine C coûtent 45$ (8$ au Canada). stopbillc51.com


Des mentions d'honneur et de déshonneur à distribuer:

HONNEUR à:

L.A. avec sa loi interdisant les sacs de plastique. Ceci a déja été entrepris dans d'autres pays a travers le monde, mais trop peu.
 Yves Bolduc qui milite contre le fait que l'on puisse trouver des produits odieux dans les hôpitaux, comme des boissons gazeuses ainsi que des repas horribles (lait, viande, Jell-O). D'ailleurs, comme mentionné dans le numéro précédant du Journal, les hôpitaux, lieux de "santé", sont tout sauf des lieux de santé, puisque la Santé y règne par son absolue absence, en effet on y retrouve aucune personne en santé, mais que des gens en mauvaise santé, des malades, des morts, des maladies et des virus.         


 ARNOLD SCHWARZENEGGER, qui a signé une loi pour bannir les gras trans de la restauration de son État.

L'Ontario qui fait la promesse de protéger la moitié de ses arbres contre la déforestation.

DÉSHONNEUR à

 La paroisse de Terrebonne qui acceuille maintenant une antenne pour téléphones portables dans sa tour.

Le sénat canadien qui appui le projet de loi c-33 qui ferait en sorte que l'essence contienne 5% plus d'éthanol, ce qui augmenterait d'avantage le prix des aliments et la famine dans le monde.
La Chine, l'Inde, le Brésil, le Mexique et l'Afrique du Sud pour ne pas accepter les normes en matière d'émissions de gaz a effet de serre lors du dernier G8.
HONTE aussi a tout les pays industrialisés, mécontents face aux pays sous-développés qui tentent eux aussi de se moderniser. C'est comme dire : restez pauvres. Par-contre, il faut voir plus loin que cet horizon, il est grand temps de voir le progrès d'une autre manière que forcément une augmentation de la pollution. Mais pour cela il faut faire un virage vert que peu sont prêt a prendre, malheureusement. Pourtant, tôt ou tard, ce sera inévitable, et ce ne sera plus un choix; sinon, ce sera la fin. 


HONTE aussi au Vénézuela, qui vend son litre d'essence a 0,03$. Et HONNEUR a son pays voisin, la COLOMBIE, qui la vend 1$, mais aux mafieux Colombiens qui en font le traffic.
l'Agence Canadienne d'inspection des Aliments (ACIA) qui a montré la porte a un employé dénoncant l'intention de l'Agence de déléguer l'inspection des aliments au secteur privé. Imaginez, une entreprise, aveuglée par l'argent, déciderait de ce qui est comestible et sécuritaire pour la santé humaine, "vérifiant" des produits venant d'autres entreprises elles-aussi obnibulée par le profit, mais comptant tout de même sur quelqu'un de responsable pour juger avec sérieux de la qualité des produits avant leur mise en marché.

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