mercredi 17 septembre 2008

Répercusions de l' industrie de la viande

"La notion d’ externalités quand il y a des conséquences (positives ou négatives) sur des tiers qui ne sont pas partie prenante à une transaction économique." ... Les végétaliens font le choix de renoncer a la viande, mais n'en évite pas pour autant toutes les conséquences néfastes qui découle de la production de viande... En ce qui concerne l’industrie de la viande, il n’y a que de l’ externalité négative, et ce a tous les niveaux :


Environnement : (pollution de l’eau, air, terre),            économique (subventions de l’État pour soutenir un mode de production déficient qui endette le travailleur, consommateur, l’entreprise, l’État, et la société entière). Les personnes qui font le choix de renoncer a la consommation de viande subissent malgré tout une hausse de prix généralisée des aliments, dû aux quantités quasi infinies de céréales gaspillées dans l’ élevage du bétail.         Sanitaire : Ceux qui s’absitennent de la viande subissent aussi des désavantage liés a leur santé causé par la contamination des cours d’eau par le fumier, ainsi qu’une diminution de la qualité de l’air qu’ ils respirent.             Éthique: Il y a des tiers victimes d’externalités négatives gigantesques – les animaux mangés – dont les intérêts ne comptent pour rien dans la décision de produire, ils ne retirent aucun bénéfices et en paient le prix par leur vie. Les forêts, chaque arbre, ne choisissent pas d’ être rasés, pour être remplacé par des pâturages. Les végétaliens, qui refusent de participer a cela, en paient le prix, l’eau polluée par le fumier, et ainsi de suite, les conséquences sont infinies dans le cycle de la vie, car tout est reliés.


         Maladies: Saviez-vous que bon nombre des maladies les plus mortelles dans l'histoire de l'humanité de l'homme trouvent leur souche a proximité du bétail? Les animaux y sont s’y entassés que les virus et infections en tout genres y prolifèrent comme la peste. Malgré les tonnes d’antibiotiques qui leur sont administrés (car les microbes s’adaptent). La grippe, qui a tué 50 millions de personnes dans la pandémie de 1918 et menace aujourd'hui des milliards d'autres, est le résultat d'aviculture, la variole, qui réduit à néant des dizaines de millions de populations autochtones à l'époque coloniale, est le résultat de l’ élevage. La plupart des intoxications alimentaires, comme E. coli et Listeria, sont aussi des répercussions de l'élevage intensif. La maladie de la vache folle traverse aussi la barrière des races et affecte la santé humaine avec des maladies dégénératives telles que le Parkinson et l’ Alzheimer.

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